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Le journal d'un vélotafeur

16 mai 2014

Les préparatifs

Il est ou ce vélo? J'en avais un, je le sais. Il est orange et vieux. Non, non. Pas comme moi.
Ah oui!! Le voilà. Nous sommes en présence d'un des premiers VTT mis en vente par le grand magasin bleu. Je l'avais acheté avec un de mes premiers salaires. Il est orange, il est pas très beau. Il a des gros pneus avec des crampons. De toute façon, je n'ai pas le choix. Investir dans un vélo pour un projet qui va sans doute mourir dans l'œuf, non merci.

Voyons voir. Je nettoie, je gonfle, je graisse. Ça roule. Ça freine. What else?
Voilà. C'est prêt. De toute façon, je ne suis pas nesspressé.

J'ai le parcours. J'ai le véhicule. Yapuka.

Je décide de faire le premier parcours pendant mes vacances. Je ne me vois pas me lancer pour de vrai, dans un jour de taf. Je ne sais pas combien de temps je vais mettre. Je ne connais pas trop les pièges. Et puis, vais-je y arriver? Je te rappelle qu'il y a vingt-huit kilomètres à parcourir dans la journée, que je pèse quatre-vingt-quinze kilos et que je ne suis pas dans une très grande forme. Si si. Il faut bien l'avouer. 

L'idée première est de ne faire que l'aller et me faire ramener en voiture. J'en parle à ma maitresse favorite. Je vois poindre un tas de points d'interrogation dans son regard vide, comme celui de Stallone dans Rocky 1 quand il hurle Adrienne à la fin du film ou comme celui d'une vache regardant passer un TGV...
Je tente de lui expliquer, avec des mots très simples où elle devrait me récupérer. Ça y'est. Je sais à quoi ressemble le vide. Elle hoche la tête comme le petit chien sur la plage arrière de la Fuego de mon con de beauf, avec sa moumoute sur le volant.
Je crois que je vais me débrouiller.
Je pourrais appeler une autre de mes maitresses, mais si elles ont toutes une plastique irréprochable, je dois bien dire qu'elles ont aussi toutes un QI proche de celle de l'huitre à marée basse. On ne peut pas tout avoir. Le rhume de cerveau, c'est pas pour elles.
Maintenant que je sais que je ne peux compter que sur moi, il faut que je réfléchisse à la façon de m'habiller.  
Nous sommes au mois de février. Il ne fait évidemment pas chaud. J'ai gardé l'expérience de la course à pied. Le froid n'est pas un problème à partir du moment ou on sait comment se vêtir. Je vais te dire un secret. Pour ne pas avoir froid, il faut bien se couvrir toutes les extrémités. Oui oui. J'ai bien dit toute.
J'ai gardé mes tenus de coureur au cas ou la folie me reprendrait. Comme je ne fais que l'allé et retour, je n'ai pas besoin de travailler le côté beau gosse de l'affaire. Je pioche donc dans mes vêtements techniques:
Un t-shirt technique à manche longue, un coupe-vent technique, des gants de soie, un joli caleçon long très moule burnes, des chaussettes de sport, des baskets. Tu as bien noté. Il n'y a pas de sous-vêtement de prévu. Le sportif n'est pas très fan des sous-vêtements. Tu regarderas d'un peu plus près les cyclistes pros. On voit très aisément de quelle tendance "politique" ils sont. Pour laisser ton imagination vagabonder, amie lectrice, je ne te dirais pas de quel bord je suis.
Au dernier moment je prendrais peut-être un bonnet. À voir.
Il n'y a plus qu'à définir le jour de la première.
Ça, c'est pas ce qu'il y a de plus compliqué.

 

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10 mai 2014

Hors périph'

Ce matin, je réfléchis. Comment ça, ça t'étonne?
Sache que je suis super bien équipé pour faire ce genre d'exercice. Peut-être bien mieux que toi. Nan mais dis donc!!

 Hier matin, j'ai eu l'idée du siècle, mais maintenant, parlons concret. Pour me rendre au bureau chaque jour, j'empreinte le périphérique qui m'emmène du nord au sud de Lyon. Ce parcours n'a vraiment aucune saveur et aucun intérêt, à tel point qu'il m'arrive parfois de rouvrir les yeux sur le dernier rond point avant d'arriver. Ça t'es jamais arrivé ce genre de truc? Tu montes dans ta caisse et tout est automatique. Tu ne reprends conscience qu'en touchant au but? 

Ça fout la trouille quand même.  

Je pense qu'on doit croiser un tas de gens dans cet état-là. T'imagines? 

Mais revenons au sujet de base: je fais quoi moi avec mon vélo? Et puis quel vélo, au passage?
Je lance Google Earth. Je te rappelle que je suis un informaticien confirmé et reconnu au moins par moi. Je ne vais quand même pas travailler sur une vieille carte papier!!

Je trace le parcours quotidien. 17km. Ça en fait pas mal, des kilomètres. Pour un mec comme moi, ça parait complètement infaisable. C'est bien le genre de balade que je faisais avec des collègues en VTT il y a...... houla...... mais c'est quand la dernière fois que j'ai fait du vélo?? Ah ben.... euh..... Et puis ça nous prenait tout l'après-midi.   

Il est ou au fait, ce fameux vélo?
A ce jour, il doit bien avoir pas loin d'une vingtaine d'années. 
Il marche encore?

Aïe aïe aïe. Ça en fait des questions.
Voyons. Je trace un trait pour aller du point A au point B. Je jette un premier tracé sur la carte. Le premier point positif, c'est qu'il est tout à fait possible de ne pas empreinter le périph. C'est une vraie découverte. La seconde bonne nouvelle, c'est que je n'aurais à parcourir "que" 14km.  

Juste articuler ce nombre me fait frémir. J'ai bien envie de me jeter en boule dans mon canapé avec une bonne bière fraiche et d'abandonner ce projet saugrenu. J'ai commencé à en parler autour de moi. Autant dire que je passe pour un dingue complet.
Le challenge est quand même intéressant. Et mon gros bide m'encourage.
Attends. Je commande une bière à mon majordome et je continue: Paul. Une tourtelle. Tu l'as pas vu venir celle-là. Si tu la comprends, c'est que t'as déjà pas mal entamé ta vie.

Je sais combien de kilomètres je devrais faire. Mais en combien de temps?
Ça roule à combien un vélo?
Et moi, je roulerais à combien avec un vélo?

J'ai demandé à un collègue hier. Il a commencé à me regarder avec des yeux tout rond et s'est jeté dans la brèche:
 "Tu vas venir ici à vélo??  
"Tu vas faire tous ces kilomètres chaque jour ?" 
"Mais tu vas passer par où ?" 
"Et puis tu vas arriver complètement épuisé ??" 
"Tu vas puer ??" 
"Compte 20km/h de moyenne."
"Bon courage."

Et voilà comment je suis rentré déprimé hier soir.
20km/h, ça veut dire que je suis capable de parcourir 20km en une heure?
T'as vu comme je cogite bien?
Ça voudrait donc dire que je mettrais moins d'une heure pour faire le parcours?
Si je fais l'aller, il faut que je fasse le retour?  

On multiplie le temps par deux, donc. On arrive à un peu moins de deux heures par jour d'exercice. Je te rappelle que je pèse lourd et que je n'ai pas fait d'exercice depuis belle burette. Les bras m'en tombent. Ça va être compliqué pour continuer à écrire.

Deux heures, c'est le temps que je prenais quand je courrais....  Ça ne me prendrait pas plus de temps, et ça rentrerait dans mon emploi du temps...  C'est pas mal en théorie. J'ai bien dit en théorie.

 

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20 avril 2014

L'idée

Ce matin de février deux milles sept, je ne me sens pas très bien. Je rentre dans ma quarante et unième année et je m'essouffle. Je t'ai raconté en avant propos que j'étais juste parfait, mais tu auras vite compris que ce que je raconte ici, n'est pas toujours la réalité. 

 Ma trentaine m'a tué. 

C'est pendant ce début de décennie que ma vie a complètement changé. Je me suis fait licencié du foyer familial. Je ne faisais plus l'affaire. Ça arrive. Mais, là, pas de préavis ni rien: dégage, je ne t'aime plus. Bon. Admettons. Comment peut-on arrêter de m'aimer? Moi qui suis juste irréprochable sur tous les sujets? Tant pis. C'est pas grave. Une de perdue, une de perdue. 

 Oui, ce matin je suis chonchon et gros. Quatre vingt quinze kilos qui se voient et plus de caisse  pour deux ronds. Je ne parle pas de voiture là? Je parle de ma forme ex-olympique. Une voiture, j'en ai une belle et une bien grosse. Je parle de voiture là. 

 Monter les escaliers? Oublie.  
Marcher des bornes? Oublie. 
Par contre bouffer comme quatre et boire des canons: Là y'a du monde. 

 Tu veux connaître ma journée type de ces dernier temps? 

Je me lève, je te bouscule, tu ne te réveilles pas. Enfin. Tu connais la chanson. 
Je vais faire caca. Ah non. J'oubliais. Je suis comme les filles. Parfait. Donc je ne fais pas ça). 
Je vais à la salle de bain. Oui oui. Comme les filles aussi, mais pas si longtemps. 
Je me regarde dans le miroir. Je voulais dire glace, mais j'écris une nouvelle alors je choisi des mots jolis. 
J'me passe la main dans ma soyeuse chevelure. 
Je me souris avec mes dents blanches et parfaites. 
J'me kiffe. 

Mais tout ça on s'en fout un peu non? 

 Ma journée type, c'est lit, ascenseur, voiture, bureau, voiture, ascenseur, lit. 
Y'a rien qui te choque là ? 

 Bien sur. Tu as le droit de penser que, vu ma situation professionnelle, je n'ai le temps de rien. Mais tu te trompes. Je suis tellement bien organisé, ou pas si indispensable que ça au final, que j'ai du temps libre. Et j'en fait quoi de ce temps libre? 

Rien. 

Ah si.  
Canapé, copains, bouffe entre potes et tout ce qui va avec. 
J'en suis à me demander si j'ai encore bien l'utilité de tout ce qui se situe en dessous de mon kiki. Lui va bien. Merci. Mais c'est vrai qu'il a tendance à disparaître de ma vue petit à petit. Et c'est bien là le problème. J'ai bien essayé de courir un temps. A part le fait de voir passer quelques jolies fessiers bien trop rapide pour moi, je ne prenais pas beaucoup de plaisir. 

Mon moteur à moi, c'est le plaisir. 

J'ai vite arrêté. Pas le plaisir, la course. Pourtant, ça fait bien, dans une conversation de cadre sup de dire qu'on court pour s'entretenir. Enfin. De toute façon, ça se voit trop que je ne m'entretiens guère et je ne suis même pas certain ni d'avoir de la conversation, ni d'être cadre sup. 

 J'ai bien une idée qui me trotte dans la tête pour tenter quelque chose de nouveau et qui allierait mon petit coté écolo naissant et une solution pour me retrouver un peu. Ah oui. Je ne t'ai pas encore parlé du petit côté écolo naissant. T'inquiète pas trop. Si je tiens la distance à l'écriture de cette nouvelle, je ne manquerais pas de te saouler avec ça. 

Il faut que j'arrive à trouver quelque chose qui me permettrait de retrouver la forme, sans trop empiéter sur mon temps libre. Les potes et l'alcool, c'est sacré. Que j'en tire sinon du plaisir, au moins une certaine satisfaction. 

 Voilà. J'ai l'idée du siècle. ET SI J'ALLAIS AU TAF À VÉLO??? 

 Et voilà. L'idée est lancée.  
Vais-je vraiment le faire? 
Je ne sais pas. Il faut réfléchir, s'organiser.  

Mais comment on fait pour aller bosser sans prendre le périphérique? 
C'est possible? 
C'est loin quand même? 
Le compteur de la voiture indique dix sept kilomètres juste pour l'aller. 
Pfiou. 
Rien que d'en parler, ça m'épuise. Il faut que je prenne un remontant. 
Apéro alors. 
Oulà. Attends. Je relis le début de mon texte. Ça commence par... "ce matin". On va peut être attendre un peu pour l'apéro. Je vais déjà aller au bureau en voiture. On verra pour le reste ce soir. 

 

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12 avril 2014

Le personnage principal

Alors voilà.
Je sais. On ne se connaît pas encore et déjà tu me reproches de ne pas commencer cette seconde note pas ce matin, comme je l'avais annoncé en avant propos.

Et ben. j'ai pas fini de me faire engueuler, sur le coup. 

Mais je dois bien avouer que tu n'as pas complètement tord. Comprend que pour cette fois ci, ça ne se prête pas trop au propos. Tu comprends? Oui? Ouf.
Note qu'on est pas encore dans l'histoire. Je pose juste le décor.

Je reprends
Donc, à l'heure ou j'écris ces lignes, je suis un très beau futur ex quadragénaire, en pleine possession de ses moyens, sauf peut être mentaux.
Ne lève pas les yeux. J'avais annoncé que je romancerai un peu. Pourquoi je n'en profiterais pas? Hein?
Donc, je fais un bon mille huit cent millimètres de haut pour, aujourd'hui, quatre vingt dix mille grammes tout nu. Ça c'est vrai.
Je suis brin, les yeux bleus et pétillants de vie. Bien entendu, pour toi, j'aurai un corps d'athlète, je ne rote pas, je ne pète pas et ne fait pas caca. Je suis parfait en toute circonstance et possède une culture et une intelligence hors norme.

Ça te va? Il est pas mal le personnage principal non?
Moi je l'aime bien puisque c'est moi.... ou presque.
Je suis informaticien reconnu, pour une très grande holding américaine, qui me rémunère grassement. Oui. Je suis pété de thunes et je surkiffe mon job. C'est bien simple, si je pars, c'est un service d'un millier de personnes qui ferme.

Et là, dans le fond, j'entends un voix féminine s'élever: "T'es célibataire?"

Ben voyons. D'abords tu me vouvoies. C'est pas parce que je te tutoie qu'on a élevé les chèvres ensemble et que tu dois tout de suite penser qu'on est pote.
Mais, dans ma grande bonté, je vais te répondre.
Pour le fun et te laisser fantasmer encore un peu sur ma personne, j'aurai envie de te dire oui. Le problème c'est que j'ai peur d'être obligé d'impliquer ma douce compagne, plus tard, dans mon histoire, alors..... disons que oui, je suis célibataire pour l'instant et que je m'arrangerais par un tour de magie plus tard si j'ai besoin.

Qu'Est-ce que j'ai oublié?
Ah oui. Je vis dans cette bonne vieille ville de Lyon. Pas vraiment à Lyon, mais tout proche. Je suis possesseur d'une très belle demeure que j'ai bien évidemment payé une fortune. J'ai un peu de personnel pour faire tourner l'affaire. Je ne m'occupe que très peu des taches quotidiennes, tu l'auras compris. Du moins dans mon roman.
Ça c'est pour de point A. Le point B, donc mon job, si t'as pas suivi, se situe à plusieurs distance possible. Ça va dépendre du moyen de locomotion et de l'humeur du matin. En voiture que je nommerais sans doute parfois métalosaure dans mon histoire, il faut compter dix sept kilomètres.

Le décor est planté. Normalement, la prochaine note et les suivantes commenceront bien par ce matin... tin tin tin, rajouterait Renaud, un très bon ami à moi.

 

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5 avril 2014

Avant propos

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Alors voilà.
Ça, c'est l'expression utilisée par un médecin, à chaque fois qu'il commence une histoire sur son blog. L'idée est géniale.
J'aime ce blogue.

Ce matin blablabla....
Ça ce sont les deux petits mots qui commencent chaque post du sujet "Ce matin... et hier soir sur mon trajet" du forum supporté par le site http://www.velotaf.com

Et alors? Me diras-tu mon tout nouveau lecteur que j'ai depuis quelques minutes.

J'y viens. Ne sois pas trop impatient.
Normalement, si je tiens le coup et que mon blabla t'intéresse, tu vas passer un petit peu de temps à me lire tellement mon histoire va te passionner. Aller. Sois sympa. Fais au moins semblant d'y croire.

Ah oui. J'oubliais.
Si je pose ici ces quelques mots qui devraient devenir une histoire ou un roman indispensable à toute personne normalement constituée, c'est aussi un peu à cause du fil de l 'eau. Le fil de l'eau c'est le nom que je donne à mon blog principal. Mais peut-être le connais-tu déjà?
Je me suis rendu compte, en alimentant irrégulièrement ce blog, depuis octobre deux mille cinq, sur ma vie mon œuvre incontournable et indispensable pour toi, que je prenais beaucoup de plaisir à écrire. Quand je dis écrire, c'est plutôt taper. J'aime bien mon clavier. Mon clavier TypeMatrix paramétré en Bépo, mais ceci est une autre histoire et plutôt hors sujet. Si ça t'intéresse, fil sur le fil de l'eau, tu en sauras plus sur l'état mental du gars qui tente de se rendre intéressant, en ayant la prétention de te raconter une histoire captivante dont le sujet principal est son parcours quotidien à vélo pour aller bosser.

Alors voilà. C'est dit. Je te propose, sur ce blog, de te faire vivre l'aventure qui m'anime depuis sept ans maintenant. Cette aventure tourne autour du même voyage fait chaque jour, pour aller bosser.

Voici donc les aventures d'un gars, à priori normalement constitué, quoi que, se rendant d'un point A à un point B, toujours les mêmes, mais à vélo.

Je te vois d'ici à plisser les yeux et retrousser le nez. C'est vrai que dit comme ça, ça ne parait pas très intéressant. Je t'accorde très volontiers que je ne vais pas révolutionner le monde avec mon sujet. Mais laisse-moi le bénéfice du doute qui m'anime moi aussi. J'ai posté depuis sept années des notes sur le sujet. Je te propose de revivre ces sept ans sous forme d'un journal d'un gars qui va bosser à vélo chaque fois qu'il le peut.
Chacune des notes s'appuiera sur des faits réels et pour pas que tu t'ennuies trop, j'en rajouterais un peu. J’y mettrais d'la baston, des poursuites de caisses, des femmes à poils pour les mecs, des beaux gars décérébrés pour les meufs, à moins que ce ne soit le contraire, de l'intrigue, du kinikki et tout un tas de choses que devrait te tenir en halène, comme la clé du même nom.

Je te vois captivé. Si si. Tu ne le sais pas encore, mais tu vas attendre chacune de mes nouvelles notes avec une impatience incontrôlable. Pour ne pas en rater une seule, je te rappelle qu'on est sur un blog et qu'il existe deux solutions pouvant t'informer de l'arrivée d'une nouvelle pépite:
Tu peux compléter tes fils RSS avec le lien du JVT. Je vois dans ton regard bovin que tu n'es pas très au fait de la fil RSS. Si si. Ne mens pas. Mais c'est pas grave. Tu dois bien avoir une boite mail? Alors, inscris-toi à la newsletter. Comme ça tu recevras un courriel à chacune des nouvelles parutions. Je compte sur toi. J'aimerai bien dépasser la trentaine de visites quotidiennes de mon blogue principale. Que je n'ai pas l'impression d'écrire que pour moi. Encore que ça ne me dérangerait pas vraiment, puisque je me kiffe à mort.

La prochaine note je te décrirai par le menu le personnage principal de l'histoire, c'est-à-dire moi. T'es content hein?

 

  Page 1 La page d'après

 

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  • Bienvenue dans le journal du vélotafeur. Ce blog se veut être le récit romancé d'un gars qui décide un jour d'utiliser le vélo au quotidien, pour aller bosser à plus de quatorze kilomètres du chez lui. A lire comme un livre.
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